John Muir, stupéfait de la beauté de la vallée ossaloise

Communique de presse #4.
J-3 avant leFestival Pyrénéen de littérature « Ecrire la Nature » ! La première édition de l’évènement consacré au « nature writing », la littérature sur la nature, s’ouvre jeudi 16 au soir, à Pau. Suivront trois jours, jusqu’au dimanche 19 juin, de rencontres, concerts et balade poétique au cœur de la vallée d’Ossau.

La projection du documentaire de François Busnel et Adrien Soland. Seule la terre est éternelle (1h52), qui raconte Jim Harrison, sera l’un des temps forts du Festival (samedi 18 juin, 20h30 - Cinéma Louis Jouvet à Laruns). Les deux réalisateurs ont filmé le romancier américain plusieurs semaines avant sa disparition, en 2015.

« Je voulais un truc non formaté, surprenant. D’où ce début de film très radical, presque étouffant dès les premières images, car c’est Jim tel qu’il était à ce moment-là, six mois avant sa mort : fragile, titubant, fatigué mais vivant ! » a expliqué en mars dernierFrançois Busnel au magazine Rolling Stone.

« Ça nous renvoie à ce qu’on ne veut pas voir, dans le journalisme comme au cinéma, c’est-à-dire un homme qui va mourir, le sait et s’en fout un peu. Mais Jim rend joyeux ce moment crépusculaire, il sort un aphorisme par-là, un haïku par-ci. C’est un peu le grand-père qu’on aurait tous aimé avoir, qui t’emmène à la pêche et te raconte la vie » poursuivait le producteur de l’émission hebdomadaire La Grande Librairie (France 5) et co-fondateur avec Eric Fottorino de la revue America.

A propos de « Seule la terre est éternelle », les mots de Marianne, La Curieuse Librairie Troquet à Arudy (64), partenaire du Festival :

« Le film de François Busnel et Adrien Soland nous embarque dans un grand voyage vers les grands espaces américains avec un grand écrivain. Des parties de pêches, des « sacrés gueuletons » (titre d’un ouvrage de Jim Harrison) et ce souffle rauque et enfumé de Big Jim qui scande tout le documentaire. Une leçon de vie et de poésie, de rire et d’Histoire, qui nous fait voir et sentir l’Amérique autrement ».

Bande-annonce :

youtu.be/nu5BJnAKj5E

Seule la terre est éternelle, qui fait écho au titre du septième chapitre des mémoires de Jim Harrison, a nécessité sept ans de travail.

La séance sera suivie d’un débat avec Cédric Baylocq Sassoubre, président fondateur du Festival, et Scott Slovic, l’un des trois auteurs américains invités.

Le communiqué #4 en PDF : presse4-festival-pyreneen-de-litterature-ecrire-la-nature-jim-harrison-etait-tel-quil-etait-a-ce-moment-la-six-mois-avant-sa-mor.pdf

Contact presse : Quentin Guillon (06 86 57 77 03 / quentin.guillon@yahoo.fr)